Un personnage rapide, agile, qui guide les voyageurs sur leur chemin, qui indique aux marchands la bonne affaire, qui retrouve ce que l'on a perdu ou qui escamotte ce que l'on possède, tel est Hermès, fils de Zeus et de Maïa.
Nymphe, Maïa est l'une des 7 filles d'Atlas immortalisées par Zeus sous la constellation des Pléiades. Séduite par Zeus, elle donna naissance à son fils dans une caverne du mont Cyllène, en Arcadie.
Le jour même de sa naissance, Hermès se dégagea de ses langes et alla jusqu'en Thessalie où son demi-frère, Apollon, gardait les troupeaux du roi Admète. Il découvrit la grotte dans laquelle Apollon cachait les vaches et les génisses, et, durant le sommeil de son demi-frère, Hermès fit sortir les bêtes à reculons, et les dissimula dans une autre grotte, fort éloignée. Après avoir sacrifié une bête à son père, Zeus, il retourna auprès de sa mère. Sur son chemin, il découvrit une carapace de tortue. Une idée géniale lui traversa l'esprit. Il nettoya les nerfs du boeuf qu'il venait de sacrifier, les tendis, et les fixa à la carapace : la première lyre était née. La matin venu, Apollon s'appercu que le troupeau dont il avait la charge avait disparu. C'est Hélios, comme souvent, qui lui révéla l'auteur du rapt en s'étouffant de rire. Humilié, Apollon filla chez Maïa pour se plaindre. Hermès, couché dans son berceau à l'innocence d'un enfant de 2 jours. Maïa ne sais que dire, et Apollon s'approche du nouveau né, soupconneux. Il découvrit alors la lyre. Démasqué, Hermès ne peut qu'avouer son vol... Et propose un marché à Apollon : il lui laisse sa lyre s'il jure de ne rien dire à Zeus. Emerveillé par le son de ce nouvel instrument, Apollon accepte.
Devenu grand, Hermès se présente à Zeus qui, séduit par son goût de la plaisanterie et de ses facultés à se déplacer plus vite que quiconque, en fait son messager, en lui offrant la place de Dieu des marchands et des routes. Même s'il voue à Zeus une loyauté sans faille, Hermès est malgré tout déséspérément indépendant.
Avec sa grande complice Athéna, il aidera de nombreux Héros, comme Ulysse, Héraclès, ou encore Persée.
Hermès représente pour les Grecs la vie qutidienne. On le remercie lorsqu'on réussi une entrprise, ou on lui demande de l'aide face à une difficulté. Les chemins du monde antique étaient parsemés de bornes surmontée du buste du Dieu.
Assimilé à Thot, inventeur des sciences, par les Egyptiens, et à Mercure par les Romains, Hermès, sans être un Dieu majeur (il évite tout conflit direct avec d'autres Dieux, notament Poseïdon), est surnomé Hermès Trismégiste (c'est-à-dire, "trois fois grand)
Son culte n'était pas des plus stricts. Seuls lui étaient sacrifiés des moutons, et encore, selon les Cités, un par mois, si ce n'était que tout les 6 mois.
Xέρτε ότι το l φιλία που εσύ αναφέρομαι είναι πάντα εκεί
Samothrace le 26-02-2008 à 19:30:58
j'y suis pour rien si vous utilisez des traducteurs tous pourris !!! ^^
Melon le 19-02-2008 à 12:33:24
"Xe'rte que le l amitié où lui je suis mentionné est toujours là"
j'ai l'impression que le traducteur lui même n'a pas tout compris...
édité le 19-02-2008 à 12:33:50
Leshaya le 10-10-2007 à 19:06:22 (site)
T'es sûr qu'il y a pas de fautes? Parceque moi j'y connais que pouic en grec à part les lettres de l'alphabet qu'on nous oblige à utiliser en cours. Et j'ai essayé plusieurs traducteurs et ils m'ont tous plus ou moins sorti la même chose c'est-à-dire: "[Cherte] que l l'amitié où lui je suis mentionné est toujours là" ce qui en soi n'a pas un sens super clair. Bon on comprend juste que l'amitié est toujours là =P
Samothrace le 09-10-2007 à 08:06:32
avec un temps de retard : OU PAS
et non, c'est bien une phrase directement traduite, qui est bien censée dire quelques chose (faut mieux chercher les traducteurs^^)
mante le 25-09-2007 à 19:36:49
dsl Leshaya meme avec un traducteur grec->fr j'ai pas trouver ... je suis pres a parier que nico a traduit letre par letre une phrase française ^^ !
Mais je sent qu'il va répondre : OU PAS !
Donc bas .... Nico c'es quoi de cette phrasounette ?
mante le 19-09-2007 à 23:30:43
A oui tt a fait j'en parlais hier a mon cheval ^^ (bon c pas tt ça je go chercher ce que ça veux dire ^^)
mante le 14-09-2007 à 22:33:34
ding ding he ding tchouc tchouc !!!!
zouing zouing zouing !!!!
tchactchac !!!!!
et re ding ding ding !!!!
I love la mandolzingzingzing
La naissance d'Héphaïstos n'est pas des plus glorieuse : la chaste Héra, encore jeune fille, fut séduite par Zeus qui, selon ses stratagèmes habituels, s'approcha d'elle sous la forme d'un coucou.
De cet union naquit Héphaïstos. Honteuse d'avoir conçu Héphaïstos hors mariage, Héra abandonna son enfant à sa naissance. Receuilli par des Nymphes, il fut initié trés jeune au travail des métaux. Ces talents dépassant toute éspérance, il réalisa à 9 ans un superbe trône ne or qu'il fit porter en cadeau à sa mère, Héra. Flattée de reçevoir un si somptueux cadeau d'un fils qu'elle avait oublié, Héra s'assit sur le trône... et ne put s'en relever ! Tout les Dieux sur l'Olympe s'acharnèrent à libérer Héra : rien n'y fit. Arès se proposa pour aller chercher Héphaïstos pour le forcer à libérer Héra : il fut reçu à coup de tisons brûlants. Dionysos, Dieu du Vin, se dévoua à son tour, et enivra Héphaïstos. C'est titubant et totalement saoul qu'Héphaïstos fit sa première apparition sur l'Olympe. Dégrisé, Héphaïstos exigea pour libérer Héra le plus somptueux présent que Héra put lui offrir. C'est Zeus qui trouva la solution. Cette solution se nomme Aphrodite.
Marié à Aphrodite et réconcilié avec sa mère, Héphaïstos prit le parti d'Héra lors des innombrables querelles qui l'opposait à Zeus. Furieux du comportement de son fils, il l'attrapa par la cheville, et le jeta du haut de l'Olympe. Il tomba sur l'île volcanique de Lemnos (nord de la mer Egée). En se relevant, Héphaïstos constata qu'il boitait... irrémédiablement. Installant sa forge au sein du volcan, Héphaïstos, avec l'aide des Cyclopes, forgea alors les armes des Dieux, ainsi que la Foudre de Zeus.
Lassé des tromperies que lui imposait Aphrodite (qui n'avait rien demandé à personne concernant son mariage), Héphaïstos jeta son regard sur sa demi-soeur, la belle Athéna, qui a pourtant fait voeu de chasteté. Lors d'une visite de la Déesse dans les forges d'Héphaïstos, ce dernier ne put résister à son désir : il chercha à s'imposer à Athéna, qui réussit à s'enfuir. Mais un long jet de sperme atteingnit la Déesse à la cuisse. Quelques temps plus tard naîtra Erichthonios, fils indirect d'Athéna et d'Héphaïstos. Receuillit par sa mère, il deviendra le premier roi d'Athènes.
Il parîtrait que le seul véritable fils d'Héphaïstos n'était autre que le géant Talos. Entièrement fait de bronze, il f ut offert par Zeus à la belle Europe, puis revient au célèbre roi de Crète, Minos. Trois fois par jour, Talos faisait le tour de l'île, et rejetait à la mer tout les marins qui n'étaient pas invités. On raconte même qu'il faisait brûler sur sa carcasse de bronze chauffée à blanc les hommes réticents à repartir.
Dieu de la Forge et du Feu, Héphaïstos était vénéré par les artisants et les forgerons.
Lors de la castration d'Ouranos, le grand-père de Zeus, s'échapèrent de la blessure quelques gouttes de sperme, qui tombèrent dans l'océan. De cet union (involontaire) avec l'Ecume, le Ciel donna naissance à Aphrodite (aphros, née de l'écume).
Cette femme sublime, avec des yeux bleus plus profonds que la mer, des cheveux blonds lumineux, lors de son apparitin sur l'Olympe, fut assitôt proclamée Déesse de la Beauté et de l'Amour. Soucieux de l'équilibre du Monde, Zeus, pour éviter tout conflit dans l'Assemblée des Dieux, décide de marier Aphrodite. C'est Héphaïstos, le Dieu de la Forge, boiteux, difforme, qui obtint sa main.
Ce mariage, le plus mal assorti de toute la Mythologie, offre à Héphaïstos le titre de "Dieu des Cocus". Aphrodite, méprisant les directives de Zeus, commence à séduire le puissant Arès, Dieu de la Guerre. Mais un matin, Hélios, le Soleil, qui voit tout, découvre Aphrodite et Arès dans le même lit, enlacés, et endormis. Révolté par la conduite des amants, Hélios s'empresse d'avertir Héphaïstos. Ce dernier, ivre de vengeance, se met à fabriquer avec l'aides des Cyclopes un filet plus léger que l'air, et lui donne un pouvoir particulier : personne, à part lui, se saura le manipuler. Jetant le filet sur les amants encore endormis, Héphaïstos appel tout les Dieux à venir assister au spectacle. Les Dieux, pliés de rire, lancent des plaisanteries grossières et se moquent d'Arès, d'Aphrodite... mais également d'Héphaïstos. Humiliés, Arès s'enfuit en Thrace, et Aphrodite à Chypre.
En perpetuelle quète d' "amour", Aphrodite séduit tour à tour Dieux, Héros, Mortels. Ainsi, Dionysos et Poseïdon partagent certaines nuit avec elle, de même que le Mortel Adonis, assassiné par Arès lui-même, ou encore Anchise, le père d'Enée, de Troie.
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