Oui, c'est vrai, y a pas de raisons ! Je me suis dit, après tout pourquoi pas ?

Je me lance : j'ai une dissert de Philo à faire pour dans 2 semaines, et, je me suis dit, que je pourrais vous soummettre le sujet. Pas que j'attende de vous la dissert rédigée, prète à être imprimée (nan, c'est pas drôle, et ça sert à rien !), juste pour donner mes idées, et éventuellement connaitre les vôtres.

Donc, le sujet :

"L'art est-il imitation ?"

Pour commencer, qu'est-ce que l'art ? Trouver une définition valable (d'un point de vue philosophique, bien sûr), ça va : j'ai devant moi un bouquin dont je m'était persuadé que je ne l'ouvrirai jamais : le Dictionnaire de Philosophie, de Jacqueline Russ.

Art : un terme dont le sens a profondément évolué : ne confondons pas l'art, dans la signification moderne du terme, comme création de choses belles, et l'art, au sens originel, comme ensemble de procédés permettent de produire un résultat.

Bon... jusque là, si elle veut...

Art, du latin ars, talent, savoir-faire, habilité.

Son sens moderne : Savoir-faire.

Depuis le XVIIIème : Activité produisant des choses reconnues belles et visant à l'expression d'un idéal artistique.

Sens archaique : Ensemble de procédés appliquant un savoir et permettant de produire un résultat. S'oppose en ce sens à la Science.

Selon Aristote, l'art est une certaine disposition, accompagnée de règle vraie, capable de produire ; le défaut d'art, au contraire, est une disposition à produire accompagnée de règle fausse.

Bon... c'est tout de suite plus compliqué...

Et d'après Kant, l'art se distingue de la nature comme faire d'agir ou effectuer en général et le produit... je m'arrète là, la suite n'est plus compréhensible.

En gros, l'art, en général se rapproche de la nature, la création originelle. Et donc, elle se distingue de la science... Mais quels sont les rapports entre la Nature et la Science ? Et paf ! Une question de plus ! Comme si la première ne suffisait pas... Enfin... 

Je vois à la suite la définition de l'oeuvre d'art : L'ensemble organisé des signes et matériaux, mis en forme par un esprit créateur, ensemble dont la beauté nous procure une satisfaction désintéréssée.

Voilà quelque chose de plus claire. Mais maintenent, c'est la définition de l'esprit créateur qu'il faudrait... Déjà, si on se rapporte à la définition de l'art, l'esprit créateur de l'oeuvre dépend du sens moderne...

Je crois qu'on peut être d'accord sur le fait que l'art cité dans le sujet est le talent, capable de créer une oeuvre. D'où la justification d'aborder "l'oeuvre d'art"...

Donc selon moi, si je vous livre mes idées en vrac, on a l'art, représentation d'une création de LA Création, donc la nature. Ainsi, oui, l'art est imitation... Mais si on parle d'art moderne (le genre de choses que je peux pas blairer... je dois pas avoir l'esprit assez ouvert...), là, selon moi, il n'y a aucune imtation. Mais ça devient quelque chose de compliqué à exprimer...  

Faut que je potasse... Ca va demander du temps et de la reflexion tout ça... Mais je demenderai certaines précisions au prof...

Et vous ? Vous en pensez quoi ? Comment ça vous avez rien suivit ? ^^

... 

 ...

Les aveugles peuvent voir Chuck Norris.

Chuck Norris a inventé l'écriture pour faire comprendre à un sourd qu'il allait lui péter la gueule.

Chuck Norris peut danser la Macarena et la Tecktonik sans avoir l'air con. 

... toujours la même.

....

....

Danette se lève pour Chuck Norris

Désolé Leshaya, mais c'est le prochain sur la liste ^^: Google, c'est le seul endroit où tu peux taper Chuck Norris. 

La fille d'Oedipe, après avoir porté le deuil de son père, rentra à Thèbes. Elle trouva la Cité en pleine guerre, ravagée, en état de siège. Elle se faufila dans les rangs des envahisseurs, et réussit à pénétrer dans Thèbes. Là, son oncle Créon lui raconta comment la Cité a pu en arriver là : après le départ d'Oedipe, plusieurs mois avant, les deux fils d'Oedipe, Etéocle et Polynice, se disputèrent le trône. Etéocle suggéra de se partager le trône. Chacun d'eux règnera un an, avant de redonner le pouvoir à l'autre. Polynice accepta. Etéocle, en tant qu'ainé, monta le premier sur le trône, et Polynice partit à Argos, où il fut acceuillit par le roi local.

L'année écoulée, Polynice rentra à Thèbes exiger sa place... Etéocle lui ria au nez. Il ordonna l'arrestation de son frère, mais Polynice parvint à fuir la ville.

Il courra à Argos, demander soutient à son ami, le roi Adraste. Avec l'aide du roi et de cinq des ses généraux, Polynice format la célèbre expédition des "Sept contre Thèbes". L'armée d'Adraste marche alors vers Thèbes, et assiège la ville.

Le récit de Créon terminé, Antigone est horrifiée. Elle court voir son frère Etéocle, et lui supplie de mettre un terme à cette guerre. Etéocle accepte. La guerre sera terminée lorsque les armées qui assiègent la ville seront décimées et quand Polynice mordra la poussière. Antigone n'en croit pas ses oreilles. Abassourdie, elle sort de la cité, et cherche à rejoindre son autre frère, Polynice. Polynice lui ordonne de ne pas se méler de ce qui ne la regarde pas. Il lui explique cependant qu'il est triste d'en être arrivé là. Mais la faute vient uniquement d'Etéocle, qui n'a pas tenu ses engagements. Polynice conseille à sa jeune soeur de fuir, de s'installer dans une autre cité, une bataille allant s'engager dans peu des temps. Et en tant que princesse de Thèbes, elle serait alors bien acceuillie, et vivrait des jours heureux. Et en effet, Antigone fuit... mais vers la ville. Et en effet, une nouvelle bataille s'engage.

Les deux armées s'entre-choquent, et le bronze rougit. Dans la mélée, Etéocle se retrouve face à son frère : c'est une lutte à mort qui s'engage. Les deux frères portent coup sur coup, jusqu'au moment où Polynice est transpercé par l'épée de son frère. Les hurlements de victoire s'élèvent dans la ville, et Etéocle se retourne, acclamé par Thèbes toute entière. Mais Etéocle est à son tour transpercé. Dans un ultime effort, Polynice s'est relevé, à attraper son arme, et l'a plantée de toutes ses forces dans le dos de son frère. Les deux fils d'Oedipe sont morts.

La guerre est terminée. Les armées d'Adraste se retirent, mais Thèbes est sans roi. Créon se proclame alors régent, et organise de somptueuses funérailles en l'honneur d'Etéocle. Mais d'Etéocle seulement. Il ordonne que le corps de Polynice ne soit pas innumé, que son âme èrre à l'infini dans le monde des vivants. Sans sépulture, sans prières, Polynice ne pourra pas rejoindre le royaume d'Hadès. Antigone est furieuse. Prétextant la raison d'Etat, Créon refuse d'offrir cet honneur à Polynice, qui est traitre à sa Patrie. Il n'a que ce qu'il mérite. Quiconque mettra Polynice en terre sera à son tour condamné à mort ! Le traitre est puni mais le parjure est acclamé, ironise Antigone avant de se retirer. Si Polynice s'est retourner contre sa famille, devant les Dieux, c'est Etéocle qui doit connaître un châtiment. C'est en toute conscience qu'Antigone, la nuit tombée, rejoint le corps de Polynice, le lave, lui chante les prières rituelles, l'embaume, lui glisse une obole dans la bouche, à l'adresse du Passeur, Charon, et l'entèrre.

Au matin, Créon apprend la nouvelle. Furieux, il convoque Antigone et lui rapelle son ordre de la veille. Antigone lui répète, et exige le châtiement prévu. Alors qu'Antigone est jetée dans un cachot, Hémon, le fils de Créon, supplie son père de revenir sur sa décision. Rien n'y fait, Créon est intraitable. Mais quand on ouvre le cachot pour mener Antigone à son dernier supplice, on la trouve morte : elle s'est pendue. Fou de déséspoir, Hémon se donne la mort. De même, l'épouse de Créon, ne suportant pas la mort de son fils, se suicide à son tour.

Et dix ans plus tard, le fils de Polynice, Thersandros, assiègera la ville à son tour. Mais cette fois, la victoire sera aux assaillants. Thersandros montera sur le trône de Thèbes, et la malédiction des Dieux sur la famille d'Oedipe prendra fin.

Encore aujourd'hui, Antigone est le symbole de la résistance farouche face à l'injustice.

Quand le Croquemitaine va se coucher, il vérifie qu'il n'y a pas Chuck Norris sous son lit.

La maison de Chcuk Norris a une alarme. Pas pour prévenir les Chcuk Norris qu'il y a des voleurs, mais pour prévénir les voleurs qu'il y a Chuck Norris. 

Tout d'abord, merci beaucoup à toutes et tous les blogueuses et blogueurs de m'avoir élu blog de la semaine ! Ca peux paraître un peu bête comme ça, mais je me rend compte que tous ce temps passé à taper des textes n'est pas du temps perdu ! 

Et en plus, le premier blog de l'année 2008, que demander de plus ?!?

Et la seconde chose, c'est excellente année à toutes les personnes qui passerons par là ! Que cette année vous soit propice dans tout les domaines !

Une pensée particulière pour toutes les personnes qui me sont chères, que je n'oublierai pour rien au monde.

Merci d'être là, du fond du coeur !

Excellente année à tous ! 

Chuck Norris a tué son ombre. On ne suis pas Chuck Norris.

En France, on dit aux enfants que s'ils ne mangent pas, le grand méchant loup viendra les bouffer tout crus. Au Etats-Unis, c'est de Chuck Norris qu'on leur parle. C'est pour ça qu'il y a tant d'obèses. 

Le roi de Crète Minos, fils de Zeus et d'Europe, voulu prouver un jour à ses deux frères, Sarpédon et Rhadamante, que c'était lui et lui seul que les Dieux avaient désigné pour être roi. Minos adressa alors une prière à Poseïdon et lui supplia de faire jaillir de la mer un somptueux taureau blanc. Poseïdon accepta, à la condition que Minos lui sacrifice le taureau par la suite. Minos accepta à son tour.

Sortit donc de la mer un taureau comme on en a jamais vu. Presque deux fois plus grand, d'un blanc immaculé, les Crétois furent époustouflés devant le taureau.  Et accèptère définitivement Minos comme leur roi. Cependant, Minos, émmerveillé par le taureau, refusa de tenir sa promesse envers Poseïdon et le garda dans ses étables. Apprenant cela, Poseïdon entra dans une rage folle. Pour se venger, il inspira à Pasiphaé, l'épouse de Minos un désir incomparable... pour le taureau en question. Pasiphaé et le taureau de Poseïdon s'unirent et donnèrent naissance à un être monstrueux, mi-homme, mi-taureau, le célèbre Minotaure.

Horrifié, Minos ordonna à son meilleur architecte de bâtir un palais pour le Minotaure. Un palais duquel, une fois rentré, il serait impossible de ressortir. L'ingénieux Dédale se mit à l'oeuvre et bâtit alors le Labyrinthe, dans lequel le monstre fut enfermé. Mais comment nourrir cet être fabuleux ?

Fort heureusement, Minos avait, quelques année plus tôt, soumis le roi d'une puissance du continent à son joug.

Le roi Egée d'Athènes n'avait pas d'enfants. Soucieux de sa descendanc, il consulta l'Oracle de Delphes, qui lui conseilla de "déboucher l'outre à vin", ce qui risquait de le conduire à la mort. Perplexe, Egée, sur la route d'Athènes, s'arreta chez le sage roi de Trézène, Pitthée. Ce dernier, interrogé sur les paroles de la Pythie, compris aussitôt. Ce n'est que dans l'ivresse qu'Egée parait avoir un enfant. Mais Pitthée avait une fille, Aéthra, et la faire mère de l'héritier du trône d'Athènes avait quelque chose d'alléchant ! Pitthée enivra donc Egée, et le mis dans le lit de sa fille. Le lendemain, Egée reparti pour Athènes, en laissant sous un immense rocher son épée et ses sandales. Il confia à Aéthra que lorsque son fils sera capable de déplacer le rocher et de récuperer l'épée et les sandales, il pourra se présenter à Athènes. Il lui demanda également de ne pas lui révéler son identité avant ce jour.

Une vingtaine d'années plus tard, le jeune Thésée déplaca le rocher sa difficultés, et partit pour Athènes, l'épée de son père lui battant le flanc. Arrivé à Corinthe, on lui conseilla de ne pas rejoindre Athènes par la route, mais par la mer. En effet, sur l'isthme, passage obligatoire, se trouvait le terrible brigant Procuste, qui forcait les voyageurs a essayer un lit qui était soit trop grand, soit trop petit. Si le lit était trop grand, les malheureux étaient écartéles. Si au contraire, il était trop petit, ils avaient les pieds et les mains coupés. Thésée ne fit ni une ni deux. Il courut à la rencontre de Procuste, qu'il défia... et mis à mort, l'épée de son père en travers du corps.

Arrivé à Athènes, il fut acceullit en Héros, la rumeur de son triomphe l'ayant précédé. Il se présenta à Egée, qui reconnu aussitôt son arme. Le vieux roi rencontra son fils pour la première fois. Mais ces heureuses retrouvailles furent ternies par un grand malheur. Depuis quelques temps, le roi Minos de Crète, qui avait conquis Athènes depuis quelques années, exige que chaque année, sept jeunes hommes et sept jeunes filles soient livrés à Cnossos, capitale de la Crète, pour être donnés en pâture au Minotaure. Révolté, Thésée se joignit au groupe qui devait embarquer pour la Crète. Egée, après avoir échoué dans toutes ces tentatives pour dissuader son fils, lui laissa pour son navire deux jeux de voiles. Des voiles blanches, et des voiles noires. Egée montera sur les falaises chques jours, et scruptera l'horizon. Si Thésée réussit à tuer le monstre, il devrait hisser les voiles blanches. Dans le cas contraire, si Thésée a péri, le navire portera des voiles noires. 

Parvenu à Cnossos, les jeunes Athéniens furent aussitôt conduis au Labyrinthe. Thésée, fin prèt, se prépara à entrer. Mais il fut arrété par une jeune femme encapuchonnée. C'était Ariane, la fille du roi Minos. Elle prévint Thésée qu'il ne pourra jamais sortir du Labyrinthe si il refuse son aide. Cette aide, c'est Dédale lui-même qui lui offrit. En échange, Ariane fit jurer à Thésée qu'il l'emmènerait à Athènes pour l'épouser. Thésée accepta, et Ariane lui remis... une pelote de fil doré. Pendant que Thésée s'enfoncera dans le Labyrinthe et déroulera la pelote, Ariane tiendra l'autre extréminté à la sortie.

Thésée s'enfonca alors dans l'antre du Minotaure. Des beuglements jamais entendus jusqu'alors lui permirent de trouver le monstre. Une lutte acharnée s'engagea. Mais après une longue bataille, le Minotaure s'éffondra, vaincu, et éttouffé. Remontant le fil d'Ariane, Thésée arriva à la sortie, pris Ariane dans ses bras, et fonca aux navires.

Le Minotaure est mort, et la flotte Crétoise est semée. Thésée décida de faire escale sur l'île de Naxos, dans les Cyclades. Ariane débarqua, s'alongea sur la plage et s'endormi. A son réveil, le navire n'est plus là... ou plutôt si. Ariane l'appercoit, loin, sur l'horizon. Ariane s'effondra de chagrin et pleura toutes les larmes de son corps. Après avoir abandonner ses parents, c'est elle qui est trahie par l'homme qu'elle aimait. Emu par cet tristesse, une petit homme lui apparu. De taille moyenne, barbu, bien en chair, dans une toge rouge sombre, une haleine sentant le vin... Dionysos consola Ariane, et lui proposa de le rejoindre avec son cortège, et de voyager à travers le monde à ses cotés. Il promis également à Ariane que Thésée paiera pour cette trahison.

Athènes n'est plus bien loin. La terre est en vue sur l'horizon. Thésée, préssé de revoir son père, en oubli de hisser les voiles blanches, signe de sa victoire. Egée, debut sur une falaise, observe l'horizon, inlassablement. Il apperçoit alors un navire ! Enfin ! Thésée est de retour ! Mais ce que le vieux roi voit, au loin, est un navire aux voiles noires. Thésée a échoué. A peine a-t-il rencontré son fils, il le perd. Fou de déséspoir, il se jète du haut de la falaiseet se précipite dans la mer qui désormais porte son nom. 

Débarqué, c'est par un peuple en deuil que Thésée est acceullit. Le roi Egée est mort. Thésée finit par accepter de monter sur le trône d'Athènes, et devint le plus grand roi qu'Athènes ait connu.

Un jour, Eve croqua dans une pomme. Ce fut un tord. C'était le 4h de Chuck Norris.

Chuck Norris à terminé l'histoire sans fin.