... peut-être pas de vécu, mais au moins, il a le mérite de donner l'impression qu'il vit son oeuvre.

Je n'irai pas jusqu'à le comparer à certains petits cons enfermés dans un palace pendant 6 mois pour apprendre à essayer de chanter, ça serai insultant (pour lui).

Au delà du chanteur, il y a aussi un homme, évidement. Un homme pas trés agréable, il paraît. D'après ce que j'ai pu lire et comprendre. Surtout au niveau de la famille, vers la fin de sa vie.

Jacques Romain Georges est né le 8 avril 1929 à Schaerbeek, près de Bruxelles.  Peu intéréssé par l'école (sauf pour le français), son père finit par le faire entrer dans la cartonnerie familiale.

"J'ai longuement hésité pour ma reconversion : l'élevage de poules

ou la chanson. J'ai choisi la chanson." 

Il écrit n'importe où, n'importe quand.

Jacques épouse Thérèse Michielsen le 1er juin 1950, Thérèse qu'il surnommera "Miche". Ils auront trois filles : Chantal le 6 décembre 1951, France le 12 juillet 1953 et Isabelle en août 1958.

En 1974, il abandonne tout et part en voilier avec Madly Bamy qu'il a rencontrée lors du tournage du film L'Aventure c'est l'aventure. Il décide de se retirer aux Marquises. Pilote privé depuis le 28 juin 1965 et utilisateur d'un bimoteur acheté par Madly, il y fait l'avion-taxi pour rendre service aux habitants en les transportant entre Hiva-Oa (Marquises) et Tahiti sur un trajet maritime de 1430 km demandant de 4h20 à 5 heures de vol.

Brusquement rapatrié en France, Jacques Brel décède le 9 octobre 1978 à l'hopital de Bobigny d'un cancer du poumon. 

1964, aux Pays Bas...

Dans le port d'Amsterdam,

Y a des marins qui boivent

Et qui boivent, et reboivent,

Et qui reboivent encore.

Ils boivent à la santé

Des putains d'Amsterdam

De Hambourg, ou d'ailleurs.

Enfin, ils boivent aux dames

Qui leur donnent leur joli corps,

Qui leur donne leur vertue

Pour une pièce en or,

Et quand ils ont bien bu,

Se plantent le nez au ciel,

Se mouchent dans les étoiles,

Et ils pissent comme je pleure

Sur les femmes infidèles... 

Jacques Brel

Loin d'être le taureau de combat d'un quelconque préfet d'infanterie Romain, Béllérophon était élevé par sa mère, l'épouse du roi Glaucos de Corinthe. Mais son véritable père était probablement Poseïdon en personne, qui avait autrefois séduit sa mère.

Splendide jeune homme, les femmes s'intéressaient fort à ce prince si charmant... mais lui n'éprouvait aucune attirance pour les femmes. Béllérophon n'avait qu'une passion : les chevaux.

Un jour, tandis qu'il vagabondait dans les colinnes surplombant Corinthe, Béllérophon se trouva face au cheval le plus magnifique qu'on ai jamais vu. D'un blanc immaculé, aux courbes parfaites... et ailé, de surcroît. Il avait pour nom Pégase. Né des amours de Poseïdon et de Méduse, après la mort de Pesrée, Pégase vagabondait dans le monde, sans but et sans maître. Séduit par la majestée de l'animal, Béllérophon tenta en vain pendant plusieurs jours d'approcher Pégase. Déséspéré, il finit par supplier la Déesse Athéna d'exaucer son souhait.

Le lendemain, Béllérophon se réveilla et découvrit à ses cotés des rennes et un mors en or, envoyés par Athéna elle-même. A l'aide de ses objets, Bellérophon parvint à dompter le fameux Pégase et à l'enfourcher.

Mais le hasard est parfois malheureux. Au cours d'une chasse, une flèche tirée par Bellérophon atteind son demi-frère qui s'effondre, blessé à mort. Meurtrier involontaire, Bellérophon doit cependant s'exiler. Il se rend alors à Tirynthe, où il est accueilli par le roi. Or, l'épouse de ce dernier ne résiste pas aux charmes du jeune homme ; elle lui avoue son amour, mais Bellérophon reste de marbre. Humiliée, la reine rapporte à son époux que Bellérophona tenté de la séduire. Le roi est furieux : si Bellérophon a agit ainsi, il a enfreint toutes les règles de l'hospitalité et mérite la mort. Mais Bellérophon est son hôte, et il ne peut le condamner lui-même, à moins de devenir lui-même hors la loi devant les Dieux. Il décide alors de lui confier une lettre pour son beau-père, le roi de Lycie. En toute confiance, Bellérophon prend la route sur le dos de Pégase sans savoir que la lettre qu'il porte est un arrêt de mort : le roi de Tirynthe y demande à son beau-père d'executer Bellérophon sans délai.

Arrivé en Lycie, le roi l'acceuille à bras ouverts, et organise une somptueuse fête en l'honneur de Bellérophon. Ce n'est que le lendemain que le roi lit la lettre envoyée par son gendre. Il se retrouve alors dans la même situation que le roi de Tirynthe : il ne peut pas mettre Bellérophon à mort sans attirer sur lui la colère des Dieux. Il imagine alors une épreuve de laquelle Bellérophon ne devra pas revenir.

Créature de cauchemard, la Chimère possède une tête de lion, vomissant des flammes, un corps de chèvre, et une queue de serpend. Dévorant hommes et bêtes, saccageant les cultures. C'est ce monstre que Bellérophon doit affronter.

Sautant sur Pégase, Bellérophon s'envole, un arc à la main. Il apperçoit enfin la Chimère. Alors qu'elle crache des flammes vers le jeune homme, Bellérophon décoche flèche sur flèche : le monstre ne recule pas, il ne semble même pas sentir les attaques. Après de longues heures de combat, Bellérophon se décourage. C'est alors qu'Athéna lui inspire la solution : Bellérophon fixe un morceau de plomb au bout de son javelot, et lance son arme dans la gueule du monstre. Vomissant ses flammes, la Chimère fait d'elle même fondre le plomb que Bellérophon lui a précipé dans la gueule, s'étouffe, et trépasse.

Rentré au palais, accueilli en vainqueur, Bellérophon est au sommet de sa gloire, et le roi est désormais convaincu de son ascendance divine, lui révèle le contenu de la lettre, lui assure son amitié et de sa confiance, et lui offre sa fille en mariage. 

Glorieux, protégé des Dieux, Bellérophon a tout pour être heureux : sa jeune épouse lui donne des enfants, et il hérite du royaume de Lycie. Mais saisi par un orgueil fatal, il refuse qu'on le reconnaise comme simple mortel. Hurlant sur les toits que, vainqueur de la Chimère, il est pareil aux Dieux, il décide de les rejoindre sur l'Olympe.  Enfourchant Pégase, il prend la direction de la montagne des Dieux. Malgré son admiration pour le jeune homme, Zeus ne peut tolérer cet orgueil de la part d'un Héros. Envoyé par le roi des Dieux, un taon effraye Pégase, qui se cabre et désarçonne Bellérophon, lequel est précipité sur terre.

Lorsqu'il se relève, Bellérophon se rend alors compte qu'il boite. Pégase a disparu, Bellérophon est seul. Condamné a herrer seul et à mendier, Bellérophon meurt quelques années plus tard pour avoir oublié que les hommes ne sont pas Immortels.

Et oui ! Il se passe trop de choses en ce moment, et je me rend compte que, malgré tout mes efforts, je n'arrive pas à suivre (peut-être est-ce dû à l'absence de motivation... qui sait ?)

Sans parler des évenements qui s'enchaînent trop vite ! Certains insignifiants, d'autres d'une importance sans précédent (pour moi, hein ? Je vous rassure, c'est pas encore la fin du monde ^^)

- On a le concours à Forbach le 11 mai avec l'Orchestre... Mouais... Bah la Danse des Heures, pour l'Allegro, c'est pas gagné, c'est moi qui vous le dis !

- Les concerts d'Avril : tranquille ^^ Par contre, concernant Mante, John et Zantoine, déjà que j'avais l'intention de vous faire revenir, mais connaissant Melon, vous n'y échapperez pas ^^ !

- Le BAC blanc à pseudo-réviser

- Le BAC, le seul, l'unique, le vrai, à commencer à réviser sérieusement d'ici quelques semaines

- Les admissions (parce qu'on a beau me dire que j'arriverai là où je veux sans problèmes, il n'empèche que j'ai quand même de sérieux doutes... C'est vrai, quoi. Je connais mes résultats mieux que vous^^) ...

- Le boulot, en Juillet... faut que je commence à réfléchir sérieusement, parce que bon... C'est comme le concours, c'est pas dans la poche !

- Sans parler de la Mythologie Grecque pour les Nuls à poursuivre (j'ai un article en suspend depuis bientôt 2 semaines, il est toujours pas fini)

- Les questions existencielles qui trottent dans la tête depuis quelques jours (tiens ! Un nouveau projet d'article pour Débats, ça ! C'est Aurore qui va être contente ! Par contre, Samothrace va faire la gueule... ça fait encore du travail...)

- Donc : L'article pour Débats

- Faut que je pense à dormir la nuit, parce que depuis quelques jours, ça non plus c'est pas facile.

- Télécharger une autre version de Java : pour le DM de maths (qu'il serait grand temps de commencer), on a besoin d'un petit logiciel qui requiert donc Java... Mais cet abruti ne se satisfait pas de la version qu'il propose lui-même...

- Terminer de foutu DM de SI (pour, entre autres, GMH...) ! DM qui ne sert à rien, puisque non corrigé, et entre même non regarder par les profs... Non, personne n'a parlé de logique !!!  Ceci dit, ça risque d'être relativement rapide, j'ai trouvé moi-même le corrigé sur Internet (pour une fois que c'est pas Mante qui me le passe^^)

- Faudrait aussi que j'arrive à continuer de faire la tablature de Hunter's Chance... Tiens, je vais vous la mettre, d'ailleurs ! Attendez 2 secondes...

- Vamo'Alla Flamenco, par contre, c'est déjà plus facile (à tabler, pas à jouer)

- Ca me fait penser que je dois aussi les envoyer à Jonathan et Antoine (enfin... je sais plus...) Les archiver, les mettres sur Free... du travail, encore du travail ! 

- J'ai encore le Bolero à ré-imprimer, après quelques modifications... Et oui, option musique pour le BAC... encore du boulot !

- Faut aussi que je me décide à écouter sérieusement les morceaux qu'on a à connaitre... Ca veut dire les mettre à jour avec Windows Media, et en plus les copier sur le lecteur ! On est pas sortis des ronces !!!

- J'ai encore les VefAwards à suivre... Même sans participer à l'organisation, j'arrive pas à suivre les discussions sur le Fofo... Pauvre de moi !!!

- J'ai encore la Citadelle des Ombres à finir (entièrement pour la 2ème fois) avant lundi.

- Les Aventuriers de la Mer à commencer... J'avoue, je ne l'ai pas fais... Me demande pas pourquoi !

- La Malédiction des Dieux que j'ai offert à mon frangin pour Noël à commencer.

- Il faudrait aussi penser à ranger mon bureau, c'est assez impressionnant que ramassi de trucs divers et variés.

- Au début des vacances, je pensais travailler sur un nouveau Design pour mon blog, mais vu que j'ai même pas pris le temps de faire une affiche pour les Awards, je crois (non, en fait, je suis sûr) que je vais laisser tomber.

- Je me suis aussi dit qu'il fallait que je fasse l'article de Benjamin Gates pour Epsilon, mais c'est pas prèt de sortir non plus.

- Avec ça, je me suis dit que je consacrerai pas mal de temps à parler de musique sur mon blog, vu que grâce à Johnmandrake, je maîtrise à peu près les difficultés de Free ^^ (vous aurez remarqué qu'il y a quelques musiques à disposition^^)

- Faut que je me mette deux choses dans la tête : le Pastis, c'est dégueux, et le Watermelon, c'est fini (tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir... à quand la prochaine tournée ?^^)

- Et c'est tout ce qui me viens à l'esprit pour le moment ^^

Voilà la vie bien chargée que je mène en ce moment... C'est pour dire...

Bon aller, une petite photo pour cloturer l'article :

Bon... hum... j'aurais peut-être pas du, en fait...

Dans un épisode de Walker Texas Ranger, on peut voir Chuck Norris mettre un protège-dent. Ce n'est pas pour protéger ses dents mais les points de son adversaire.

Les Dieux Grecs étaient regroupé sur le mont Olympe, parce que le reste était à Chuck Norris.

D'origine améniene, Aram Khatchatourian est né le 6 juin 1903 Tbilissi, en Géorgie.

Khatchatourian commence à découvrir la musique au pensionnat où il apprennait à jouer du piano, entre 1912 et 1921.

Khatchatourian se lance dans des études de commerce, sans pour autant abandonner le piano, dont il poursuit l'étude de manière autonome. 

C'est à l'âge de onze ans qu'il découvrit l'opéra, par lequel il fut séduit.

Alors que son frère Souren, récemment marié, déménage à Moscou, Aram et son second frère Levon le suivent. A Moscou, Khatchatourian intègre l'université puis l'institut de Gnessine, et débute le violoncelle.

C'est en 1922, à la suite de son premier concert, qu'en plus de ses nouvelles études de biologie, il commence à prendre des cours de composition.

Khatchatourian composa principalement des oeuvres classiques :

Trois symphonies, plusieurs pièces pour piano, pièces de musique de chambre, des concertos (pour piano, violon, ou violoncelle), ainsi que deux ballets, dont Gayaneh, en 1942.

Il s'agit d'une histoire simple qui se déroule dans une ferme collective de l'Union soviétique, et qui reflète les attitudes et les sentiments des années 1940, lorsque le pays était impliqué dans la guerre mondiale. Un espion est capturé, et des personnages faibles ne peuvent pas résister de prime abord à son influence. Mais bien sûr, l'ensemble des agriculteurs surmontent les problèmes, remportent la victoire finale et créent triomphalement leur propre collectivité pour y vivre ensuite dans le bonheur.

Ballet en quatre actes, plusieurs mouvements de Gayaneh ont été repris, entre autres pour le 7ème art, ou même pour les arts du spectacle.

L'un des mouvements les plus connus de Gayaneh  évoque le tourbillonnement d'une danse de guerre Kurde, où les danseurs mettent en avant leur adresse dans le maniement du sabre, d'où son nom : La Danse du Sabre.

Cette pièce a également été adaptée pour toute sorte d'interprétation. Khatchatourian a lui même adapté son oeuvre pour piano, mais on trouve également la Danse du Sabre jouée par un orchestre du guitares (vidéo suivante) ou encore par un certain orchestre de Mandolines vosgien...

Ci dessous, donc, la Danse du Sabre par l'orchestre de Guitares de Barcelone.

Les théorèmes mathématiques de Pythagore, Thalès, Euclide, Bézout et Descartes découlent tous du théorème de Chuck Norris.

Au-dessus des dieux de l’Olympe, il y avait le Destin. Au dessus du Destin, il y avait... mais vous le savez déjà.

Lancement, si on peut dire, d'une nouvelle rubrique, qui traitera entre autres de musique, de personnes ayant un rapport plus ou moins direct avec cette musique, ou autres...

Merci à Johnmandrake666 pour les explications de l'exploitation de cette superbe technologie  qu'est internet.

Pour commencer, et peut-être pour tenter de justifier mes goûts musicaux, une présentation d'un certain Isaac Manuel Francisco Albéniz, né le 29 mai 1860 à Camprodon, en Espagne.

Bien qu'aucun de ses parents ne soit musicien, Issac commence trés tôt à apprendre le piano, et, dès quatre ans, donne son premier concert à Barcelone et obtient une grande admiration.

A sept ans, Albeniz est envoyé par sa mère à Paris, où il est intégré au conservatoire. Renvoyé, il rentre en Espagne et intègre le conservatoire de Madrid. A douze ans, Albeniz quitte de nouveau l'Espagne pour cette fois les Etats Unis, et New York, et ce pendant deux ans. De retour en Europe, Albeniz entreprend de courtes études au conservatoire de Leipzig, puis à celui de Bruxelles, où il se fait remarquer pour sa mauvaise conduite.

A vingt ans, Albeniz se rend cette fois à Budapest et y fait la connaissance de Franz Liszt. 

De retour à Barcelone en 1883, il y épouse Rosina Jordana, et décide de se consacrer à la composition et à ses quatre enfants.

Grand voyageurs, les Albeniz visitent Londres et décident de s'installer, cette fois de manière définitivé, à Paris en 1893.

Isaac Manuel Francisco Albéniz décède d'une affection rénale le 18 mai 1909, à Cambo-les-Bains, dans les Pyrénées Atlantiques, en Aquitaine.

Petite anecdote : Isaac Albeniz est l'arrière grand-père de Cécilia Sarkozy.

L'oeuvre suivante, à écouter à plein volume, est l'une des pièces de sa célèbre Suite Espagnole, comme Castillas, Aragon, Cadiz, Sevilla, Granada, Cataluna, Cordoba.

Voici Asturias, relativement connue, composée, si je ne me trompe, entre 1886 et 1889.

Je le répète, à écouter à plein volume. 

Aux élections, le vote de Chuck Norris compte pour 51% du résultat.

Chuck Norris a réussi à vendre des CD de Christophe Willem. Mais lui-même n'en a pas acheté : on n'arnaque pas Chuck Norris.