Lancement, si on peut dire, d'une nouvelle rubrique, qui traitera entre autres de musique, de personnes ayant un rapport plus ou moins direct avec cette musique, ou autres...
Merci à Johnmandrake666 pour les explications de l'exploitation de cette superbe technologie qu'est internet.
Pour commencer, et peut-être pour tenter de justifier mes goûts musicaux, une présentation d'un certain Isaac Manuel Francisco Albéniz, né le 29 mai 1860 à Camprodon, en Espagne.
Bien qu'aucun de ses parents ne soit musicien, Issac commence trés tôt à apprendre le piano, et, dès quatre ans, donne son premier concert à Barcelone et obtient une grande admiration.
A sept ans, Albeniz est envoyé par sa mère à Paris, où il est intégré au conservatoire. Renvoyé, il rentre en Espagne et intègre le conservatoire de Madrid. A douze ans, Albeniz quitte de nouveau l'Espagne pour cette fois les Etats Unis, et New York, et ce pendant deux ans. De retour en Europe, Albeniz entreprend de courtes études au conservatoire de Leipzig, puis à celui de Bruxelles, où il se fait remarquer pour sa mauvaise conduite.
A vingt ans, Albeniz se rend cette fois à Budapest et y fait la connaissance de Franz Liszt.
De retour à Barcelone en 1883, il y épouse Rosina Jordana, et décide de se consacrer à la composition et à ses quatre enfants.
Grand voyageurs, les Albeniz visitent Londres et décident de s'installer, cette fois de manière définitivé, à Paris en 1893.
Isaac Manuel Francisco Albéniz décède d'une affection rénale le 18 mai 1909, à Cambo-les-Bains, dans les Pyrénées Atlantiques, en Aquitaine.
Petite anecdote : Isaac Albeniz est l'arrière grand-père de Cécilia Sarkozy.
L'oeuvre suivante, à écouter à plein volume, est l'une des pièces de sa célèbre Suite Espagnole, comme Castillas, Aragon, Cadiz, Sevilla, Granada, Cataluna, Cordoba.
Voici Asturias, relativement connue, composée, si je ne me trompe, entre 1886 et 1889.
Je le répète, à écouter à plein volume.
Aux élections, le vote de Chuck Norris compte pour 51% du résultat.
Chuck Norris a réussi à vendre des CD de Christophe Willem. Mais lui-même n'en a pas acheté : on n'arnaque pas Chuck Norris.