dying-to le 20-06-2009 à 12:33:47 (site)
Une musique plein d'émotion ... Elle me fais penser une musique de films où on repense a nos souvenir, a un amour qui a mal finit, a notre avenir, notre passée... Elle est mélancolique mais a la fois remplie d'espoir ...
Bisous
Mante le 02-05-2009 à 22:58:30
Moi ça me donne un peche !
Hop hop hop !
Vive un check up !
Alors : - Poutre ... OK
- Corde ... OK
- Tabouret ... OK
C'est Partit !
Samothrace le 01-05-2009 à 11:21:02
Fait exprès ? Euh... nnnnoooooonnnnnnn, pas du tout ^^
Petit post du mercredi matin (oui, parce que branleur comme je suis, je suis actuellement encore dans mon lit) :
J'en connais un qui va avoir une éruption de boutons en voyant ça :
C'est tout (c'était juste pour marquer le coup)
Attend l'épisque bataille entre Crabes et Huitres avec impatience.
Sans parler de l'Excuse, avec un grand E, de John Mandrake
qui, s'il n'arrète pas ses conneries, se prendra un sacré savon, dimanche
soir (en espérant avoir désoulé, of course)
Je Schtroumpf les frites !
Hector Berlioz est un compositeur, un écrivain et un critique français, né le 11 décembre 1803 à La Côte-Saint-André en Isère, mort le 8 mars 1869 à Paris.
Il est considéré comme l'un des plus grands représentants du romantisme européen, bien qu'il récusât le terme de « romantique » qui ne signifiait rien à ses yeux. Il se définissait en fait comme un compositeur classique. Sa musique eut la réputation de ne pas respecter les lois de l'harmonie, accusation qui ne résiste pas à une lecture approfondie de ses partitions. On y découvre, paradoxalement, que Berlioz respecte les fondements historiques de l'harmonie datant du XVIe siècle (règles régissant les mouvements contraires et conjoints), mais qu'il s'affranchit parfois des règles supplémentaires apparues plus tardivement et esthétiquement discutables (règles de modulation cadentielle entre autres).
La Damnation de Faust, La Marche Hongroise :
La Damnation de Faust est une œuvre musicale pour orchestre, solistes et chœur du compositeur français Hector Berlioz, inspirée de Faust de Johann Wolfgang von Goethe. Sous-titrée légende dramatique en quatre parties, elle fut créée à Paris en 1846. Le livret est une adaptation de Berlioz et Almire Gandonnière à partir de la traduction en prose de Gérard de Nerval de la pièce de Goethe. Le plan en est semblable, mais le découpage et les aspects mis en avant diffèrent considérablement de cette dernière. De même que Goethe s'était emparé du Faust de Christopher Marlowe, Berlioz s'est emparé du Faust de Goethe et en a fait une sorte d'autoportrait musical.
Trois fragments en particulier en sont souvent extraits et joués indépendamment en concert : la Marche hongroise, le Ballet des sylphes et le Menuet des follets.
On verra cette pièce reprise dans l'une des plus grandes oeuvres du cinéma français :
Après des jours et des jours d'entrainement, j'arrive enfin à jouer ça à la guitare :
Commentaires
Petite Amélie. le 23-09-2009 à 20:27:02
Pour moi aussi =)
Mante le 27-07-2009 à 14:54:00
Bas pas pour moi !
C'était chiant !
Relou !
Insupportable !
Y'avais que des cons!
La mandoline c'est de la grosse daube!
(Ce message est a caractère ironique .... quoique )