posté le 16-07-2009 à 11:10:50

Fin

Suite à de nombreuses prépéties, de nombreux accorchages,
de nombreux problèmes, de nombreuses surprises
et de nombreuses émotions,
 
le VIIème Festival International de
Mandolines, Guitares et Mandoles s'est achevé lundi 16 juillet en fin
d'après midi.
 
Ont donc participé à l'évenement en tout 12 orchestres
de 9 nationalités différentes, à savoir
 
 
The Israeli Plectrum Orchestra, d'Israël
Die Zupforchester Friedrichweiler, d'Allemagne
The Orchestra of Mandolins, de Zrnovnica en Croatie
The Guitar Mandoline Orchestra, de Pirinski en Bulgarie
L'Escuela Rondalla Requene, d'Espagne
The City Mandolin Association Sanctus Domino, de Croatie
The Mandolin Band Elena Genova, de Bulgarie
The Cithe Mandolina Orchestra, de Ljubljana en Slovénie,
Le Zgorzeleccka Orkiestra Mandolinistov, de Zgorzelec en Pologne
L'Orchestre de Mandolin Maestro Gueorgui Atanossov, de Bulgarie
L'Orchestra a Plettro, de Sienne en Italie
L'Orchestre de Mandolines et Guitare, de Remiremont en France
 
 
Durant 3 jours, les orchestres se sont succédés pour interpréter différents morceaux de leurs répertoires.
 
Le Festival a été ouvert par l'ensemble d'Israël le vendredi soir, pour être cloturé par l'Orchestre Italien de Sienne le dimanche après-midi.
 
En gise de cloture "définitive", les 12 orchestres (ou plutôt 11,5) se sont rassemblés pour former un ensemble de quelques 300 musiciens pour interpréter ensemble, sous une même direction, la fameuse Valse n°2 de Dimitri Chostakovitch :
 
 
Les différents orchestres se donc alors progessivement séparés, certains les larmes aux yeux.
 
Il est bien entendu certain qu'une telle manifestation se reproduira d'ici 4 ans !!!
 
 
Ce weekend restera assurément un très bon souvenir, et sans doute pas que pour moi ^^
 
 


Commentaires

 

Petite Amélie.  le 23-09-2009 à 20:27:02

Pour moi aussi =)

Mante  le 27-07-2009 à 14:54:00

Bas pas pour moi !
C'était chiant !
Relou !
Insupportable !
Y'avais que des cons!
La mandoline c'est de la grosse daube!
(Ce message est a caractère ironique .... quoique Sourire )

 
 
posté le 26-04-2009 à 00:21:57

Sans titre

Aujourd'hui, rien.
 
 
Comme souvent d'ailleurs.
 
 
Juste un souvenir, un an après,
jour pour jour, heure pour heure...
 
 
 
 
 
 
...
 
 
Une nuit...
 
 
Une merveilleuse nuit...
 
 

 
 
 


Commentaires

 

dying-to  le 20-06-2009 à 12:33:47  (site)

Une musique plein d'émotion ... Elle me fais penser une musique de films où on repense a nos souvenir, a un amour qui a mal finit, a notre avenir, notre passée... Elle est mélancolique mais a la fois remplie d'espoir ...

Bisous

Mante  le 02-05-2009 à 22:58:30

Moi ça me donne un peche !

Hop hop hop !

Vive un check up !

Alors : - Poutre ... OK
- Corde ... OK
- Tabouret ... OK

C'est Partit !

Samothrace  le 01-05-2009 à 11:21:02

Fait exprès ? Euh... nnnnoooooonnnnnnn, pas du tout ^^

Leshaya  le 29-04-2009 à 00:17:30  (site)

Ta chanson là ben elle est très jolie mais elle me rend méga triste! (enfin tu me diras c'est sûrement fait pour hein.)

 
 
posté le 15-04-2009 à 12:30:24

They're come back !

Petit post du mercredi matin (oui, parce que branleur comme je suis, je suis actuellement encore dans mon lit) :

 

J'en connais un qui va avoir une éruption de boutons en voyant ça :

 

 

 

 

C'est tout (c'était juste pour marquer le coup)

 

Attend l'épisque bataille entre Crabes et Huitres avec impatience.

Sans parler de l'Excuse, avec un grand E, de John Mandrake

qui, s'il n'arrète pas ses conneries, se prendra un sacré savon, dimanche

soir (en espérant avoir désoulé, of course)

 

Je Schtroumpf les frites !

 

 


Commentaires

 
 
 
posté le 13-04-2009 à 15:03:57

La Damnation de Faust - Hector Berlioz

Hector Berlioz est un compositeur, un écrivain et un critique français, né le 11 décembre 1803 à La Côte-Saint-André en Isère, mort le 8 mars 1869 à Paris.

 

 

 

Il est considéré comme l'un des plus grands représentants du romantisme européen, bien qu'il récusât le terme de « romantique » qui ne signifiait rien à ses yeux. Il se définissait en fait comme un compositeur classique. Sa musique eut la réputation de ne pas respecter les lois de l'harmonie, accusation qui ne résiste pas à une lecture approfondie de ses partitions. On y découvre, paradoxalement, que Berlioz respecte les fondements historiques de l'harmonie datant du XVIe siècle (règles régissant les mouvements contraires et conjoints), mais qu'il s'affranchit parfois des règles supplémentaires apparues plus tardivement et esthétiquement discutables (règles de modulation cadentielle entre autres).

 

La Damnation de Faust, La Marche Hongroise :


 

 

La Damnation de Faust est une œuvre musicale pour orchestre, solistes et chœur du compositeur français Hector Berlioz, inspirée de Faust de Johann Wolfgang von Goethe. Sous-titrée légende dramatique en quatre parties, elle fut créée à Paris en 1846. Le livret est une adaptation de Berlioz et Almire Gandonnière à partir de la traduction en prose de Gérard de Nerval de la pièce de Goethe. Le plan en est semblable, mais le découpage et les aspects mis en avant diffèrent considérablement de cette dernière. De même que Goethe s'était emparé du Faust de Christopher Marlowe, Berlioz s'est emparé du Faust de Goethe et en a fait une sorte d'autoportrait musical.

 

Trois fragments en particulier en sont souvent extraits et joués indépendamment en concert : la Marche hongroise, le Ballet des sylphes et le Menuet des follets.

 

 

On verra cette pièce reprise dans l'une des plus grandes oeuvres du cinéma français :

 

 

 
 
Vous aurez (j'ose l'espérer) reconnu la première apparition de Louis de Funès dans La Grande Vadrouille.
 
Louis de Funès/Stanislas Lefort dirige la Marche Hongroise avec les mouvements réels que devrait avoir un chef d'orchestre. Pour cela, il a répété trois mois devant la glace de son salon et a pris quelques leçons avec le directeur de l'Orchestre national. À la fin de la première répétition, l'orchestre de l'Opéra se lève et l'acclame en « tapant archets contre violons, flûte contre pupitres ». En effet, ces applaudissements étaient totalement improvisés.
 
Et pour information, La Grande Vadrouille est resté pendant plus de 30 ans le film ayant fait le plus d'entrées en France depuis sa sortie en 1966. Il été détroné par Titanic, en 1997.
 
Et pour terminer, la scène durant laquelle De Funès se retrouve sur les épaules de Bourvil et est baladé par celui-ci n'était pas prévue à l'origine dans le scénario et était de la pure improvisation des deux artistes. Mais elle eut tant de succès qu'elle servit pour la réalisation de l'affiche du film, et est aujourd'hui considérée comme une des plus grandes scènes du cinéma comique français.
 

 

 

 


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posté le 08-04-2009 à 22:02:35

La Classe !

Après des jours et des jours d'entrainement, j'arrive enfin à jouer ça à la guitare :

 

 

 
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Nan, je déconne. Dommage, d'ailleurs.
 
Ca c'est fait.
 
A mort John Mandrake 666 et ses 200 pompes !

 

 


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